jouvenot.com

Explorer de nouvelles pistes d’innovation

Temps de lecture : < 1 minuteLe cabinet de conseil en innovation Doblin, qui étudie l’innovation depuis trente-cinq ans, est arrivé à la conclusion selon laquelle
l’innovation était synonyme de produit pour encore beaucoup de cadres dirigeants dans le monde.
Pourtant, l’innovation peut prendre des formes tout à fait autres, notamment à l’ère digitale.
Le modèle de Doblin distingue donc dix utilisations possibles des nouvelles technologies pour introduire de l’innovation autour de…

Lire la suite...

Mettre à plat un business model ou en imaginer de nouveaux

Temps de lecture : < 1 minuteLe Business Model Canvas est une trame permettant de mettre à plat un modèle économique existant ou d’en imaginer de nouveaux. Il ressemble à un canevas composé de neuf éléments qui, tel un puzzle, sont imbriqués les uns dans les autres. Remplir soigneusement ce tableau permet de décrire comment une entreprise s’y prend pour créer de la valeur.

Lire la suite...

Eviter à l’innovation de faire fausse route

Temps de lecture : < 1 minuteLa matrice de l’innovation part du postulat selon lequel bon nombre d’entreprises échouent lorsqu’elles tentent d’innover parce qu’elles n’ont pas déterminé en amont dans quel espace d’innovation elles s’aventuraient.
Cette matrice stipule que chaque innovation se situe dans un espace comprenant des difficultés spécifiques et devant être abordés avec des méthodes distinctes

Lire la suite...

Tester son projet entrepreneurial auprès des clients

Temps de lecture : < 1 minuteLe Lean Launchpad a été inventé par Steve Blank, un serial entrepreneur.
Sa vocation est de changer radicalement la manière d’entreprendre ou de lancer une nouvelle activité.
Les éléments de cette approche sont éminemment pratiques et mettent délibérément de côté les méthodes classiquement enseignées : business plan, conception de produit, etc.
Lors des séances de formations, Steve Blank exige des participants qu’ils proposent immédiatement des hypothèses business à tester. Ils sortent alors du bâtiment pour parler à de potentiels clients, des partenaires possibles, des experts. Ils utilisent ensuite le matériau collecté lors de cette phase pour affiner leur produit ou service, s’assurer que leur offre répond bien à un besoin client et résout bien un problème, valident qu’ils sont en train de créer une activité reposant sur un business
model déployable dans le monde réel et scalable.
Ramenée au monde des affaires, la méthode encourage les créateurs à envisager l’entreprise elle-même comme un moyen et non plus comme une fin en soi, en retardant le plus tard possible la création de celle-ci.

Lire la suite...

Élargir et rendre plus agile un porte-feuille de prestataires

Temps de lecture : < 1 minuteLe crowdsourcing consiste à utiliser la créativité, l’intelligence et les savoir-faire d’un grand nombre de personnes, en sous-traitance, pour effectuer certaines tâches traditionnellement réalisées en entreprise.
Wikipédia repose sur ce principe. C’est en s’appuyant sur l’expertise de millions de spécialistes dispersés dans le monde, que cette nouvelle encyclopédie a pu voir le jour.
La forme la plus courante du crowdsourcing est celle de plateformes. Les plus connues son Indiegogo et Kickstarter.
Les quatre questions principales à se poser en s’engageant sur cette voie concernent :
• La nature du sujet
• Le type de « foule » d’experts à mobiliser
• La dimension du projet
• Le type de plateformes et de services à solliciter.

Lire la suite...

Innover avec des personnes externes à l’entreprise

Temps de lecture : < 1 minuteL’expression surprenante d’open innovation revient à Henry Chesbrough, professeur à Berkeley.
Le postulat de départ de l’innovation ouverte est qu’il est plus efficace et rapide, dans le cadre d’un travail collaboratif, de ne plus s’appuyer uniquement sur sa seule et propre R&D pour innover. Elle désigne, dans les domaines de la recherche et du développement, des modes d’innovation fondés sur le partage et la collaboration (entre parties prenantes).
L’approche peut donc apparaître altruiste ou au contraire comme un moyen de distribuer (concours) ou de partager (partenariat) le risque lié à l’innovation et l’investissement vers l’extérieur d’une organisation.
Sa matérialisation se traduit souvent par des plateformes comme InnoCentive, Kaggle ou Quirky, sur lesquelles des récompenses pouvant aller jusqu’à un million de dollars sont attribuées à celui ou celle, ou à l’équipe s’étant constituée, qui apporte une solution au problème posé, par des entreprises parfois prestigieuses : Procter & Gamble, General Electric, GlaxoSmithKline, Eli Lilly, AllState…

Lire la suite...

Vendre une idée en interne

Temps de lecture : < 1 minuteLe meilleur moyen de tuer une bonne idée est de mal la présenter.
L’entreprise est un écosystème qui réagit comme un corps vivant et qui donc rejette tout ce qui lui est étranger. Les idées nouvelles ne sont donc pas les bienvenues, contrairement à tout ce que l’entreprise peut raconter à ce sujet.
Heureusement, le digital est arrivé avec son lot de nouvelles pratiques comme celle du communiqué de presse interne utilisé pour valider une idée.
En un mot, tout collaborateur qui a une idée nouvelle (de produit, de diversification stratégique, de rachat d’une start-up, d’une nouvelle fonctionnalité pour la plate-forme, d’un nouveau service, etc.) la présente sous forme d’un communiqué de presse. Celui-ci étant le communiqué qui serait adressé aux journalistes si l’idée présentée avait réellement été retenue par l’entreprise, puis développée. Tout collaborateur peut donc rédiger un communiqué de presse fictif de présentation d’une nouvelle
idée. Il le transmet à son n+1 qui à son tour le transmet, ou non, à son propre supérieur, etc. Jusqu’à atteindre la personne décisionnaire et obtenir un Go ou un No Go.

Lire la suite...

Anticiper les risques et les difficultés d’un projet

Temps de lecture : < 1 minuteLa notion de Post-mortem est bien connue dans le monde informatique.
Le Post-mortem consiste à dresser un bilan des actions passées et des résultats obtenus. Ce moment se situe généralement après la livraison du produit (ou d’un jalon important). Il vise à tirer des enseignements de nature à s’améliorer pour les prochains projets.
Le digital, qui aime transgresser, a pris le contre-pied de cette démarche en inventant le pre-mortem. Situé avant même que le projet n’ait démarré, mais au moment où l’idée à développer peut s’exprimer en quelques lignes, le pre-mortem consiste à réunir des collaborateurs, à les inviter à se projeter dans le futur et à leur demander pourquoi le projet que l’on vient
de leur présenter a finalement échoué.
Ses principales vertus sont de capitaliser sur un penchant naturel consistant à voir le verre à moitié vide plutôt qu’à moitié plein et de permettre aux individus d’évoquer des manques, des erreurs, des fautes effectuées par le passé par leurs collègues sans les citer nommément, voire leurs propres fautes.

Lire la suite...

Favoriser l’émergence des idées

Temps de lecture : < 1 minuteLe Design Thinking est une approche de l’innovation et de son management qui vise à opérer la synthèse entre la pensée intuitive et la pensée analytique. Elle s’appuie sur un processus de co-créativité impliquant des retours de l’utilisateur final.
Contrairement à la pensée analytique, le « Design Thinking » est un ensemble d’espaces qui s’entrecroisent plutôt qu’un processus
linéaire avec un début et une fin.
Privilégiant l’expression des idées par des schémas, des dessins, des techniques proches du Mind Mapping, généralement réalisés
sur des murs d’écriture prévus à cet effet, le Design Thinking fonctionne avec cinq étapes, non linéaires. Il conviendra d’effectuer des retours en arrière, de réaliser des cycles, de revenir à une phase antérieure, quand bien même les développements d’un prototype ont commencé.

Lire la suite...

Manager simultanément plusieurs modèles économiques différents

Temps de lecture : < 1 minuteLa révolution digitale conduit les entreprises à se lancer dans des activités nouvelles. L’e-commerce en est un exemple parfait. Souvent structurant pour l’entreprise, il l’oblige littéralement à se remettre en question, revoir ses processus, recruter, manager et retenir de nouveaux talents, opérer de nouveaux services, réaliser de nouvelles tâches, adopter de nouveaux rythmes, interfacer la nouvelle activité avec l’ancienne, piloter simultanément deux comptes d’exploitations très différents…
Prendre conscience de la nécessité d’anticiper la plus ou moins grande compatibilité entre différents business models (anciens et nouveaux) est un atout.

Lire la suite...

Décrypter les cinq grands modèles économiques du monde digital

Temps de lecture : < 1 minuteUn business model est composé de neuf briques permettant de décrire comment l’entreprise crée de la valeur.
Le digital a vu naître une multitude de nouveaux modèles économiques ayant des centres de gravités très dispersés.
Partir d’un panorama des cinq grandes familles de business models que l’ère digitale a rendu possibles constitue un exercice pour repérer le centre de gravité de son propre modèle économique et pour évaluer sa proximité, ou au contraire son éloignement, avec ceux des activités digitales que l’entreprise a développées ou s’apprête à lancer.

Lire la suite...

Mettre à jour sa proposition de valeur

Temps de lecture : < 1 minuteLe digital a engendré de nouveaux usages, comme l’achat en ligne ou l’usage du mobile, qui font dorénavant partie des moeurs.
Les entreprises ont désormais intégré l’idée selon laquelle le digital leur offre des opportunités de croissance, d’enrichissement de l’expérience client, d’accélération de leurs manières de faire.
Mais le digital introduit une série de questions émanant des directions et portant classiquement sur : les niveaux d’investissement,
le rythme à adopter, les modèles organisationnels à privilégier, les options technologiques à retenir…
Le modèle des macro forces de la disruption digitale de Bain apporte une méthode de nature à adapter la proposition de valeur de l’entreprise à son nouvel environnement.

Lire la suite...

Arbitrer entre différentes initiatives digitales

Temps de lecture : < 1 minuteIl n’est jamais simple d’évaluer la pertinence d’une nouvelle initiative.
D’autant que la tentation est grande de comparer les initiatives en cours (et parfois loin d’être terminées) ou déjà inscrites dans la stratégie et de nouvelles, plus digitales.
La matrice de hiérarchisation des initiatives digitales permet de comparer les initiatives du moment avec de nouvelles selon deux axes : leurs contributions au cœur de métier et leurs puissances économiques
respectives. Les initiatives sont alors classées en quatre catégories auxquelles
le management accordera une attention plus ou moins soutenue.

Lire la suite...

Challenger une initiative digitale

Temps de lecture : < 1 minuteLe financement de leur activité est au coeur des préoccupations des start-up. Habituées à un cycle classique commençant par du love money (argent des amis et des proches) pour démarrer, suivi parfois d’une phase dans laquelle les business angels entrent au capital, prolongée ensuite par l’arrivée de capitaux de fonds early stage, en attendant plus d’argent provenant de fonds dit de first round, puis de second round… à moins que des acteurs industriels ne soient entrés dans le capital en cours de route, les jeunes pousses sont rompues aux confrontations avec des professionnels de la finance.
A l’échelle de l’entreprise traditionnelle, challenger un projet interne porté par les équipes digitales, en utilisant les questions difficiles des capitaux-risqueurs est un exercice bénéfique, tant pour l’entreprise traditionnelle qui investira dans le projet que pour l’équipe digitale qui le développera.

Lire la suite...

Présenter un projet digital en mode start-up

Temps de lecture : < 1 minuteDe plus en plus d’entreprises prennent conscience du fait que l’évolutionde leur stratégie vers plus de digital passe par des profils d’intrapreneurs.
Largement accaparées par les impératifs opérationnels et les exigences commerciales et financières accrues, les directions n’ont que trop peu de temps à accorder à la présentation de projet digitaux.
Avec le Pitch Investor, que toutes les start-up ont adopté, les entrepreneurs internes peuvent significativement augmenter leurs chances de retenir l’attention et de susciter l’envie d’aller plus loin.

Lire la suite...

Comprendre les fondamentaux d’une plate-forme internet

Temps de lecture : < 1 minuteLes plateformes digitales engagent des producteurs et des consommateurs dans un système d’échanges à forte valeur ajoutée. Leurs actifs clés sont l’information et l’interaction qui, toutes deux, sont leurs sources de valeur et créent leur avantage compétitif.
Le focus stratégique passe du contrôle de ressources internes à l’orchestration de ressources externes, de l’optimisation de processus internes à la facilitation d’interactions externes et à la maximisation de la valeur de chaque utilisateur en vue de la maximisation de l’ensemble de l’écosystème ainsi constitué.
Un sujet qui préoccupe des entreprises comme Accor, G7, Valmart, Nike, John Deer ou General Electric.

Lire la suite...

Repenser son IT à l’heure du digital

Temps de lecture : < 1 minuteLa révolution digitale a placé l’IT encore plus près du centre de gravité de l’entreprise.
Les nouveaux besoins ne se comptent plus : rapidité, sécurité, personnalisation, transparence, expérience utilisateur, gestion omni-canal, modularité, cloud, gestion des données, SaaS*, analytics, agilité…
Afin d’aider les entreprise à procéder à un véritable reboot de leur informatique, Bain propose un modèle précisant les attributs
et les caractéristiques de la nouvelle version de votre informatique, articulé autour de trois “A“ :
Aligned priorities (alignement des priorités)
Agile IT operating model (modèle opérationnel agile)
Affordable journey (scénario économiquement raisonnable)

Lire la suite...

Déterminer la maturité digitale d’une entreprise

Temps de lecture : < 1 minuteDéfinir le niveau de maturité digitale d’une entreprise est une question clé. Cette matrice permet d’y répondre. Elle constitue pour les entreprises un outil d’auto-diagnostic sur leur niveau de digitalisation.
En pleine révolution digitale, le développement digital des entreprises devient un enjeu majeur de transformation globale (productivité, innovation, management, organisation…). Si le quoi et le pourquoi de la transformation digitale sont désormais largement compris, le comment l’est moins.
Cette matrice permet d’évaluer les entreprises en termes de développement digital et d’orienter leurs développements en ce sens.

Lire la suite...

Investir dans l’innovation sans pénaliser l’activité économique de l’entreprise

Temps de lecture : < 1 minute« Coca-Cola, c’est ça. » Mais c’est surtout ça : une entreprise qui, tout comme d’autres grands groupes allant de L’Oréal à Google,a parfaitement su mettre en pratique la loi dite de 70 / 20 / 10.
La digitalisation d’une entreprise est particulièrement consommatrice de capitaux, de ressources, d’investissements, d’implication du top management, de temps des collaborateurs pour upgrader leurs compétences, etc.
L’arbitrage à effectuer alors pour répondre aux exigences grandissantes du digital (innovation, rapidité, agilité, mutation, internationalisation, etc.) tout en préservant l’activité principale de l’entreprise (à l’origine de son chiffre d’affaires, de la profitabilité et de sa pérennité) est particulièrement difficile. La loi 70 / 20 / 10 apporte une réponse simple et opérationnelle à cette problématique.

Lire la suite...

Repérer les lames de fond technologiques

Temps de lecture : < 1 minuteLes technologies exponentielles sont, parmi les technologies de l’information, celles qui rendent possible la conversion au format numérique de ce qui était par nature physique, dans un monde où les choses se consomment désormais de plus en plus à la demande (musique, films, applications, déplacements, hébergement…).
Les entreprises n’ayant pas su capitaliser sur l’émergence de ce nouveau type de technologies sont connues : Iridium, Kodak, Polaroid, Philco, Blockbuster, Nokia… et tant d’autres à venir.
Savoir distinguer une technologie exponentielle d’une technologie nouvelle mais plus classique, n’est plus une option, mais un impératif stratégique.

Lire la suite...
Page